Repères historiques
1860
Naissance à Fleurier de Louis Estoppey.
1880
Domicilié désormais à Bienne, Louis Estoppey fonde un atelier de dorage de mouvements et de roues pour l'horlogerie. Zénith et Louis Brandt & Fils (la future Omega) figurent parmi la clientèle.
1886
Mariage avec Lina Addor de Sainte-Croix. Louis Estoppey accole le nom au sien pour enrichir la raison sociale, ce qui témoigne de son affection pour son épouse et de son sens commercial. En effet, "Addor" fait penser à dorage.
1908
A 48 ans, décès de Louis Estoppey. Sa veuve (Lina Addor) continue l'exploitation de l'atelier, seule d'abord, puis avec l'aîné de ses quatre enfants, Henri-Paul ( 2e génération).
1922
1ère extension de l'entreprise.
1945
Jusque-là exclusivement horlogère, Estoppey-Addor se diversifie. Elle traite désormais les articles de bijouterie, les stylos, etc. La maison se diversifie en proposant le nickelage et le décor de mouvements.
1947
Henri Estoppey (3e génération), petit-fils du fondateur, reprend les rênes de l'entreprise.
1961
Construction d'un nouvel atelier destiné au chromage dur (2e extension).
1970
Rachat d'Orgalvanic Sàrl, un atelier de placage de la place de Bienne (3ème extension).
1972
Ouverture d'un service commercial, pratiquant la vente et l'octroi des licences de procédés et d'installations galvaniques.
1977
Olivier Estoppey (4ème génération) rejoint l'entreprise familiale.
1970-1980
Les difficultés de l'horlogerie accentuent la mutation de l'entreprise, qui travaille désormais majoritairement pour les secteurs de l'électronique, de la chirurgie, de la connectique, de la micromécanique, etc...
1980
Estoppey-Addor célèbre son centenaire.
1987
Olivier Estoppey devient directeur de l'entreprise avec l'appui de son collaborateur Kurt Jaggi et l'arrivée de son beau-frère Jean Hirt. Ceci permettant à Henri Estoppey de se retirer peu à peu des activités opérationnelles.
1995
Constitution d'une société anonyme après 115 ans de fonctionnement familial.
7 janvier 1996
Décès subit d'Olivier Estoppey à l'âge de 40 ans. Il était le père de Sandrine (1986) et de Cyril (1988). Son beau-frère Jean Hirt assure la direction générale de l'entreprise.
17 janvier 1996
Remise du certificat ISO 9002 à Estoppey-Addor.
1998-1999
Agrandissement et rénovation complète de l'usine. Modernisation des installations et ajout du traitement du nickel chimique.
31 août 2000
Jean Hirt reprend la présidence de l'entreprise en ayant pour mission de rester dans le peloton de tête des entreprises de traitements de surface en s'entourant de personnes très qualifiées.
8 juin 2004
Henri Estoppey décède à l'âge de 81 ans.
2005
L'entreprise fête ses 125 ans d'activité.
2008
Obtention de la certification ISO 14001:2004 (management environnemental).
2008-2009
Estoppey-Addor construit et s'agrandit à la Rue du Wasen :
- doublement de la surface de production
- construction d'une station d'épuration moderne et entièrement pilotée par ordinateur
2010
L'entreprise compte 25 collaborateur et fête ses 130 ans.
2011
Sandrine Estoppey rejoint le conseil de direction de l'entreprise.
Cyril Estoppey débute en tant qu'électroplaste CFC chez Estoppey-Addor SA le 1er juillet 2011.
2012
La direction générale est confiée au 1er août 2012 à Sandrine Estoppey. Son frère Cyril occupe le poste de directeur de production et ventes, alors que Jean Hirt occupe la direction générale adjointe.
Juin 2015
Retraite de Jean Hirt.
1er janvier 2017
Rachat des activités de Bicrom SA à Corgémont, sous la raison sociale Estoppey-Addor Chromage SA. Jean Jungen - fondateur de Bicrom SA - devient responsable du site de Corgémont.
2018
Mise en place d'un nouvel atelier de décoration.
2019
Déplacement et modernisation complète de l’atelier de nickel chimique.
2020
Dans le but de rationnaliser la production de Estoppey-Addor Chromage SA à Corgémont, plusieurs activités - dont le chromage noir - sont transférées sur notre site de Bienne. Fermeture définitive du site de Corgémont à fin 2020.
2021
Mise en place d'un atelier de pose d'épargne, avec 6 postes de travail.